mercredi 4 juillet 2012

BIENVENUE DANS VOTRE BLOG

Qu’est-ce qu’un blog ?

Un blog est un site Web qui vous permet de partager des informations liées à un domaine spécifique sous la forme de texte, d’images, de liens et autres médias tels que des vidéos. Les blogs peuvent être utilisés comme sites d’équipe, sites d’informations, journaux, dossiers personnels et à d’autres fins.

Traditionnellement, les blogs comportent de nombreux messages courts et utilisent l’ordre d’affichage chronologique inverse (les entrées les plus récentes apparaissent en premier). Ils permettent également aux visiteurs du site d’interagir en faisant des commentaires sur les messages.

Les blogs peuvent également servir d’outil de communication pour une équipe. Ils permettent aux membres d’une équipe de communiquer entre eux grâce à un emplacement centralisé regroupant des liens et des informations pertinentes.

Votre bog Océan : http://doriotunivers.blogspot.ch/

lundi 2 juillet 2012

LE CERVIN ET LA SUISSE


Le Cervin (4478 m)

LE CERVIN SYMBOLE DE LA SUISSE







Le 14 juillet 1865, le Cervin est ascensionné pour la première fois. Guidés par l’Anglais Edward Whymper, quatre des sept jeunes hommes de la cordée y perdent la vie. Zermatt et l’accident du Cervin font alors toutes les unes. La corde qui reliait Edward Whymper, Taugwalder père et fils de Zermatt au reste de la malheureuse cordée est exposée au Matterhorn Museum avec d’autres estiges de cette première ascension.





Le Cervin et la Suisse sont étroitement liés. Ce sommet en forme de pyramide, dont l'ascension est réputée difficile, est sans doute la montagne la plus photographiée du monde. En face se trouve le Petit Cervin, desservi par un téléphérique.




Le Cervin est plus qu’une merveille de la nature. Par sa forme et sa position isolée, il symbolise la force brute de la montagne. Mais il est plus encore : il n’existe aucune montagne au monde dont la forme naturelle est une pyramide aussi parfaite que celle du Cervin. La forme pyramidale symbolise le lien entre nature et culture, paysage et histoire. Il y 100 millions d’années, d’énormes mouvements de compression des plaques tectoniques rapprochent l’Afrique et l’Europe. L’Océan situé entre les deux continents commence à se retirer. 50 millions d’années plus tard, les masses rocheuses commencent à se déformer et à se plier. Les masses rocheuses poussant vers le haut donnent naissance au Cervin. Il est l’emblème de la Suisse, la plus belle montagne du monde et la plus photographiée.

Origine du nom Le Cervin est cité pour la première fois dans des documents médiévaux comme „Mons Silvus“. Le nom se transforme ensuite en „Mons Servinus“ et „Mons Servin“ puis devient enfin „Cervin“ en français et „Cervino“ en italien. Les étymologistes ne sont pas tous d’accord sur l’origine du nom : certains supposent qu’il vient du latin „silva“ (forêt), d’autres de l’italien „cervo“ (cerf). Le Cervin est cité pour la première fois en 1581 comme „Mont Cervin“ puis plus tard comme „Monte Silvio“ et „Monte Servino“. Le mot allemand „Matterhorn“ apparaît pour la première fois en 1682. L’étymologie du nom vient probablement du mot „Matte“, c’est-à-dire la plaine alluviale herbeuse en-dessous des gorges de la Gorner, aujourd’hui presque intégralement recouverte par le village de Zermatt („zur Matt“). La population locale appelle la montagne „ds'Hore“ (= das Horn (la corne), dialecte de Zermatt) ou „ds'Horu“ (dialecte valaisan).



dimanche 1 juillet 2012

MONTREUX CAPITAL DU JAZZ



Le 46e Montreux Jazz Festival ouvre ses portes vendredi et durera jusqu'au 14 juillet.

Plus de 220'000 personnes sont attendues à la 46e édition du Montreux Jazz Festival, qui démarre vendredi. Huit
soirées sur les 32 proposées affichent déjà complet.

port

Clarens Photo P.A.Doriot sur : http://fr.fotolia.com/p/119760

piscine de la maladaire


Piscine de Montreux / La Maladaire Photos P.A.Doriot sur : http://fr.fotolia.com/p/119760


montreux

Montreux / Lac Léman Photos P.A.Doriot sur : http://fr.fotolia.com/p/119760


CREMONA LIUTERIA













ECOLE INTERNATIONALE DE LUTHERIE CREMONE




est le centre international de la . C’est là, dans cette ville du Nord de l’Italie, qu’ont vécu parmi les plus grands luthiers du monde : les , (), , , etc. Encore aujourd’hui, la ville de perpétue cette tradition vieille de quatre cents ans. Symbole de savoir-faire, l’école internationale de lutherie Antonio Stradivari, le concours international de lutherie qui s’y déroule tous les trois ans et la foire internationale baptisée « Mondo Musica » qui, elle, se tient chaque année, au début du mois d’octobre.




scuola internazionale di liuteria cremona


La manière de construire les instruments n’a guère changé depuis les débuts de la

, il y a quatre cents ans. D’ailleurs, n’utilise aucun outil électrique. La raison de ce choix tient au fait que la construction d’un instrument se doit de refléter toute la sensibilité de la main de celui qui taille dans le bois pour déterminer, par exemple, l’épaisseur de la table (la clé de la sonorité d’un instrument) et du fond. Pour construire un instrument qui possède une belle et puissante sonorité, il faut compter trois mois.



Antonio Stradivari

                                                     , dit

 

ANTONIO STRADIVARI




Le mystère, un des plus épais de l'histoire de la musique, tenait depuis trois siècles. Depuis la mort, en 1737, à 93 ans, d'Antonio Stradivari, des générations de luthiers, de musiciens, d'acousticiens et de chimistes avaient tenté de percer le secret du maître. Le bois, la colle, l'assemblage des matériaux, leur traitement : la composition des fameux violons avait été passée à la loupe, ou plutôt à tout ce que la palette scientifique proposait d'optiques surpuissantes. Un élément résistait toutefois à l'analyse, celui-là même dont le maître de Crémone avait toujours refusé de révéler la formule : le vernis.


STADIVARIUS

















C'est aujourd'hui chose faite. Après quatre années de recherche, on connaît désormais la structure exacte du mystérieux revêtement. Une équipe d'une quinzaine d'intervenants issus de sept laboratoires français et allemands, coordonnée par Jean-Philippe Echard, chimiste au laboratoire de recherche et de restauration du Musée de la musique, à Paris, doit en faire l'annonce, vendredi 4 décembre. Une publication a été mise en ligne sur le site de la Angewandte Chemie International Edition, la plus importante revue de chimie au monde. Une version papier devrait suivre en janvier, accompagnée d'un article dans la revue Nature. Autant dire que ces conclusions devraient dépasser le cercle des mélomanes.

Scuola internazionale di liuteria cremona



ARCHIVIO FOTOGRAFICO Costruzione del Violino



L'œuvre d'Antonio Stradivari tient de la légende. De son vivant déjà, les cours européennes s'arrachaient ses réalisations. Rescapé d'une épidémie de peste qui décima les luthiers de la plaine du Pô (nord de l'Italie), il régnait sur la profession. Harpes, cistres, violes, altos, violoncelles, basses, et bien sûr violons : 1 100 instruments quittèrent son atelier au cours de ses soixante-dix ans d'activité. Il en resterait aujourd'hui environ 650.



Entre-temps, le stradivarius s'est imposé comme une référence. Dans les salles de concert, où les virtuoses qui le pouvaient l'ont adopté presque unanimement. Chez les collectionneurs, les prix atteignent plusieurs millions d'euros. Mais aussi chez les luthiers et les scientifiques qui ont tenté de percer le "secret" de Stradivari. L'essence des arbres (des épicéas pour la table, des érables pour le fond) ? La période de coupe (traditionnellement une nuit d'hiver par lune descendante) ? Les plans exacts de ses instruments étaient connus. Pour le reste, on se perdait en conjectures. En 1830, le physicien Félix Savart obtient du grand luthier français Vuillaume le droit de désosser deux stradivarius. Sans résultat. Par la suite, on évoqua le traitement subi par le bois: densifié par une vague de froid, selon les uns, dopé par un parasite, selon les autres, bonifié par un passage dans la lagune vénitienne pour les troisièmes; on copia la perfection et l'équilibre de son dessin, qui fixa l'instrument dans sa forme définitive. Et l'on se pencha sur le fameux vernis.



L'équipe du Musée de la musique a employé les grands moyens. Elle a intégré à son étude un luthier, Balthazar Soulier, qui avait déjà observé plus d'une soixantaine de stradivarius. Surtout, elle a assis sa recherche sur cinq instruments conservés dans la collection de l'établissement de la porte de La Villette. Quatre violons et une tête de viole d'amour – un instrument à douze cordes tombé en désuétude au XIXesiècle – réalisés entre1692 et 1724, autrement dit au cours d'une très large période. Sur chacun d'entre eux, ils ont prélevé une parcelle de vernis de la taille d'un grain de semoule. Et ils ont commencé l'expérience, ou plutôt les expériences.


D'abord ils ont passé les particules au microscope à ultraviolets. Ils ont ainsi pu déterminer que les échantillons étaient composés de deux couches avec, dans la seconde, des grains de pigments. "Mais nous ignorions encore comment étaient composées ces couches", raconte Jean-Philippe Echard.


Les échantillons ont alors pris le chemin de Saclay, dans l'Essonne, pour être analysés en lumière infrarouge dans le synchrotron Soleil. Cet immense accélérateur d'électrons permet de disposer d'une source suffisamment intense pour dresser la cartographie chimique d'un matériau. Et c'est là que l'information essentielle est tombée: le maître utilisait un simple vernis à l'huile. Pas de sous-couche dopée aux extraits de peau, d'os, ou d'esturgeon, comme le voulaient certaines légendes. "Il n'était pas non plus allé traire les abeilles de Hongrie orientale une nuit de pleine lune", s'amuse Jean-Philippe Echard. Non: pour sa base, le maître utilisait une simple huile siccative, à la façon des peintres ou des ébénistes.



Cette conclusion a été affinée au laboratoire du Museum d'histoire naturelle, à Paris. En couplant deux techniques – la chromatographie en phase gazeuse et la spectrométrie de masse – les scientifiques ont pu préciser la composition de chacune des deux couches. Dans la première, ils n'ont trouvé que de l'huile de peintre. Dans la seconde, un mélange composé de cette même huile et de résine de pin.


AH, LE VERNIS !
"Pendant deux cent cinquante ans, on a tout entendu, sourit Jean-Philippe Echard, tout imaginé. En termes de sonorité, comme de couleur. On a dit que Stradivari ajoutait au liant de l'ambre fossile de la propolis, cette gomme rougeâtre que les abeilles recueillent sur certains bourgeons, ou encore de la coquille de crustacés…" Depuis la seconde guerre mondiale, une quinzaine d'articles scientifiques ont été publiés sur le sujet. Les réponses demeuraient toutefois partielles. L'échantillon – un ou deux instruments – restait insuffisant. Réalisés par les seuls chimistes, les travaux ne permettaient pas de s'assurer que la partie analysée était bien d'origine.

Restait à déterminer le contenu des grains de pigment. Cette fois, c'est au Laboratoire de dynamique, interactions et réactivité (Ladir), à Thiais (CNRS, Paris-VI) et à Dortmund, en Allemagne, que le dernier élément du rébus a été déchiffré. Et là, nouvelle surprise! Le génial Antonio n'avait pas inclus dans son vernis du rouge, mais des rouges, passant, au cours de sa vie, d'un coloris nourri d'oxyde de fer à un vermillon au sulfate de mercure pour finir avec un pigment laqué à base de cochenille. "Avec le vernis, l'intentionnalité de Stradivari n'était pas acoustique, mais visuelle", conclut Jean-Philippe Echard.

De quoi détruire le mythe ? Pas sûr. "Le luthier reste fasciné par la perfection du travail, la méthode extraordinairement aboutie", assure Balthazar Soulier. Le public écarquillera toujours les yeux devant le prix astronomique des instruments. Les meilleurs solistes, gorgés de confiance, continueront à le faire sonner comme aucun autre. Quant aux fêlés des quatre cordes, artistes ou scientifiques, ils poursuivront leur recherche éperdue du secret du vieux maître de Crémone.

 
SITE BIENVENUE A SAUBRAZ :  http://doriotunivers.blogspot.ch/CAROLINE BADER BONIFAS

vendredi 29 juin 2012

SKI EN ETE




SKI EN TURQUIE


Le ski en Turquie est un sport qui reste à développer. Bien que Dame Nature ait généreusement pourvue la Turquie en hauts sommets, le domaine skiable turc a été relativement peu exploité jusqu’à présent. Et le ski plutôt réservé à une élite.


Q - We Are The Plan