samedi 8 octobre 2011

LOMBORGHINI




Lamborghini est un constructeur automobile, anciennement constructeur de tracteurs agricoles, installé à Sant'Agata Bolognese en Italie. Fondée en 1951 par l'industriel Ferruccio Lamborghini, l'entreprise se destine à répondre à une demande croissante de tracteurs agricoles en Italie. Rapidement, Lamborghini devient le 3e industriel fabricant de tracteurs en Italie, derrière Fiat et Ferguson.


 
Ayant fait fortune en à peine dix ans, Ferruccio Lamborghini décide alors d'assouvir sa passion pour les « belles mécaniques » et les GT italiennes. Désireux de produire des automobiles plus performantes, plus sophistiquées et plus fiables que les Ferrari et Maserati, il fonde, le 30 octobre 1963, la firme Automobili Lamborghini spécialisée dans la production de voitures sportives de prestige.



En 1971, la société de construction de matériel agricole Trattori Lamborghini est vendue au groupe Same Deutz-Fahr Group, Lamborghini se consacrant alors uniquement à la conception d'automobiles. De nombreuses entreprises vont acquérir la firme italienne jusqu'en 1998, date à laquelle Lamborghini est repris par Audi — et appartient par conséquent au groupe Volkswagen —, le propriétaire actuel.



Malgré l'absence de références à la compétition, les Lamborghini — de la 350 GT à l' Aventador — ont réussi à se hisser aux côtés des automobiles d'exception. Fort du génie du carrossier Nuccio Bertone et du talent de l'artiste Marcello Gandini, les Lamborghini ont fait preuve « d'un esprit avant-gardiste, d'une grande capacité d'innovation et d'un design d'exception »


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mercredi 5 octobre 2011

LE DOSSIER ROCKFELLER 2 EME PARTIE



= = Suite de notre traduction en trois parties de larges extraits du livre de Gary Allen « The Rockefeller File » = =


Chapitre 5

[...] Les Rockefeller ont maîtrisé à un point terrifiant l’art d’utiliser la puissance économique afin de bâtir une puissance politique qui va renforcer encore plus avant leur pouvoir économique et ainsi de suite, ad infinitum[...]

[...] La pierre angulaire de l’establishment Rockefeller est le Council on Foreign Relation (CFR). Le leadership du CFR est l’équivalent du cerveau de la pieuvre. David Rockefeller est le président du comité directeur (NdT: en 1975-1976, il est président honoraire aujourd’hui)…

Le CFR est basé à New York et est composé d’environ 1600 “initiés” au faîte des affaires de la nation dans les domaines de la haute finance, de la politique, de l’éducation supérieure, du commerce, des fondations et des médias audio-visuels et écrits… Pendant ses cinquante premières années d’existence, le CFR ne fut pratiquement jamais mentionné par les grands de la presse nationale. Mais quand vous réalisez que le CFR a pour membres les top exécutifs du New York Times, du Washington Post, du Los Angeles Times, de Time, Life, Fortune, Business Week, et des chaînes NBC, CBS (NdT: CNN, Fox News, MSNBC etc n’existaient pas dans les années 70… Ils ont rejoint le club depuis…) et bien d’autres, vous pouvez être certain qu’une telle anonymité n’est pas une coïncidence et qu’elle est parfaitement délibérée… Anticipant de manière évidente une attention publique grandissante au sujet du CFR, le New York Times et le New York magazine se fendirent de deux articles. La stratégie était d’admettre que le CFR avait de longue date agit en super-gouvernement non élu des Etats-Unis, mais de maintenir la ligne que cela avait été fait de manière altruiste, idéaliste et par dévotion abnégatoire envers le bien public. (NdT: ceci se passa de la même façon pour le groupe Bilderberg, dont l’existence même était niée il y a encore une dizaine d’année et le fait de le mentionner n’amenait que le déni et l’accusation d’élucubrations conspirationnistes. Aujourd’hui, la presse de masse est obligée d’en parler car le groupe ne peut plus avancer caché)[...]

[...] De fait, le CFR a servi d’agence pour l’emploi virtuelle pour le gouvernement fédéral, à la fois républicain ou démocrate. Dans son article du New York Times, Anthony Lukas observa: “Tout le monde sait comment fonctionne la fraternité de groupe pour gravir les échelons de la vie. Si vous voulez être dans la politique étrangère, il n’y a pas de meilleure fraternité que le Council on Foreign Relation et il faut en faire partie…” [...]

[...] Qu’essaient de faire les Rockefeller avec leur CFR ?
Pour la première fois dans l’histoire, nous avons un membre du CFR qui est prêt à parler contre l’organisation.

Il s’appelle Chester Ward et est un Amiral en retraite de la marine américaine, qui est devenu l’avocat général du tribunal militaire de la marine. Alors qu’il gravissait les échelons du succès au sein de la marine, il fut invité à rejoindre le “prestigieux” CFR. L’establishment anticipa le fait que comme beaucoup d’autres avant lui, l’Amiral Ward succomberait à la flatterie d’être invité dans le sein des saints du sanctuaire de l’establishment et qu’en faisant appel subtilement à son ambition personnelle, il resterait gentillement dans la ligne de conduite. Les “initiés” sous-estimèrent grandement la dureté de caractère de l’amiral Ward. Il devint très vite un opposant très vocal de l’organisation. L’amiral déclara:

“L’objectif de la majorité influente des membres du CFR n’a pas changé depuis depuis sa création en 1922 il y a donc plus de 50 ans. Dans le numéro du cinquantenaire de Foreign Affairs (la publication officielle du CFR), le premier article directeur était écrit par le membre du CFR Kingman Brewster Jr et intitulé “Réflexions sur notre but national”. Il ne se découragea pas et le nomma expressément comme suit: notre but national devrait être l’abolition de notre nationalité. Il déballa tous les arguments pour un gouvernement global…”

Si le CFR de la famille Rockefeller a “pour passion de renier la souveraineté” des Etats-Unis, a qui donc sommes-nous supposés la rendre ?
L’amiral Ward répond que le but est de “submerger la souveraineté et l’indépendance nationales dans un tout-puissant gouvernement mondial; et en accord avec l’amiral, environ 95% des 1600  membres du CFR sont au courant que cela est le véritable but du conseil, et ils soutiennent tous ce but ! [...]

[...] un des plus grands dangers pour les internationalistes du CFR est la peur que sufisamment de citoyens américains comprennent finalement ce qu’ils sont en train de faire et que dans la bonne vieille tradition d’un électorat en colère, ils “balancent les rats hors du navire”. Face a la possibilité qu’une centaine de mini-nations au sein du pays ne vous boudent, ou pire, que les citoyens du pays ne deviennent clairvoyants et sages concernant le plan de jeu que vous leur avez préparé, que feriez-vous ?
La réponse fut évidente pour les Rockefellers depuis plus de cinquante ans: vous créez un gouvernement mondial que vous contrôlez et vous avez ce gouvernement à la tète de tous les autres.

Ceci a été le plan établi depuis au moins les 54 dernières années (NdT: 1922, année de la création du CFR…) et depuis que papy pétrodollars lui-même donna de l’argent pour construire la Ligue des Nations à Genève[...]

[...] Un tel “Nouvel Ordre Mondial” de manière emphatique, ne veut pas dire une société rendue impotente débattant de sujets avec le CFR. Non, cela veut dire un régime international qui contrôle les armées du monde, les armes, les cours de justice, les collecteurs d’impôts (NdT: dont par exemple la fameuse inepte taxe carbone fait partie intégrante. Le but est de la payer directement au cartel banquier qui sera en contrôle du gouvernement mondial), les écoles, les gouvernements locaux et tout le reste[...]

[...] Le “Nouvel Ordre Mondial” planifié par les Rockefeller sera une dictature globale. Les conservateurs l’appelleront socialisme ou communisme; les gens de gauche l’appelleront fascisme. L’étiquette ne fait absolument aucune différence. Ce sera l’archipel du Goulag à l’échelle planétaire.

Bien sûr les promoteurs d’un tel gouvernement mondial déguisent leurs intentions derrière toute une série de propos à double sens. A titre d’exemple voici comment le sénateur Alan Cranston de Californie (qui fut pendant de nombreuses années le président de la dépendance des Rockefeller: United World Federalists), défendît la proposition d’un super-état:

“La proposition 64 de gouvernement mondial ne dit pas que nous devrons abandonner notre souveraineté. Elle propose simplement des moyens par lesquels nous pourrons exercer au mieux notre souveraineté impotente sur des choses vitales comme par exemple la prévention de la guerre. Elle propose que nous créions un gouvernement mondial limité et que nous y déposions notre souveraineté…” En clair, nous n’abandonnons rien, mais nous “déposons”, Orwell appelait cela la novlangue[...]

[...] Même Nelson Rockefeller (NdT: vice président du président Gérald Ford, qui était en fonction au moment de la publication de ce livre, juste avant l’élection de Jimmy Carter, qui lui aussi s’entourera de membres du CFR et de la commission trilatérale également créée par Rockefeller…) sait que la révolution américaine fut une protestion contre exactement la sorte de pouvoir centralisé dont il se fait l’avocat. L’empire britannique était le gouvernement mondial de l’époque. Nos pères fondateurs ne voulaient pas être inter-dépendants, ils voulaient être indépendants. Ils étaient d’accord de payer le prix pour cette indépendance, dans la même monnaie que tout homme libre doit toujours payer: en sang et en or.

Chapitre 6

[...] “De manière toute aussi important est l’influence du CFR sur les médias… Le CFR contrôle ou possède les journaux principaux, les magazines ainsi que les réseaux de radio et de télévision…” Amiral Chester Ward (CFR et amiral en retraite)

Les Rockefellers comme nous l’avons vu ne sont pas de ceux qui laissent l’opinion publique se forger par chance. C’est pourquoi ils ont aussi investi leur argent charitable si judicieusement dans les filières de l’éducation et de la religion. Il serait d’une grande naïveté d’assumer que la famille ne puisse pas exercer toute influence subtile ou moins subtile sur les médias de masse de la nation[...]

[...] Les Rockefellers se sont assurés que les faiseurs d’opinion et les preneurs de décision du domaine des médias et de la presse ont été proprement introduits et initiés dans leur loge du CFR[...]

[...] Feu Arthur Hays Sulzberger, chairman du comité directeur du New York Times (NdT: à cette période), était membre du CFR et aujourd’hui (NdT: en 1975-76, c’est pire aujourd’hui !), il y a au moins 11 personnes ayant de hautes fonctions au sein du New York Times qui sont membres du CFR[...]

[...] L’implication des Rockefeller dans les médias est multiple. Principalement, les plans du gang Rockefeller pour créer un gouvernement mondial monopoliste ne sont jamais, au grand jamais, discutés au sein de la grande machine de désinformation. Les médias décident ce dont on parlera dans le pays. Nous avons dans ce pays ce que le journaliste Kevin Phillips a appelé une “médiacratie”.

Une médiacratie peut s’occuper de quelqu’un comme Ralph Nader et en faire un héro populaire instantané; ou ils peuvent prendre un ennemi des Rockefeller et en créer une image telle qu’il apparaît comme un crétin, un bouffon, un bigot ou un paranoïaque dangereux[...]

[...] Les faiseurs d’opinion de Madison avenue, le think tank de la Rand Corporation ou de l’Institut Hudson, peuvent manipuler et de fait manipulent l’opinion publique. Les élitistes de l’establishment appellent cela “le façonage du consentement”, ce qui veut dire que nous sommes manipuler à croire les mottos que nous ajustons sur les bracelets de nos poignets. Les techniques développées par le Thought Trust des Rockefellers viennent juste d’être adoptées et plus brutalement mises en œuvre par les communistes. Avec l’argent, les Rockefeller ont acquis les médias et leur contrôle; avec les médias, la famille a conquis l’opinion publique. Avec le contrôle de l’opinion publique, elle a gagné la politique et avec le contrôle du paradigme politique, elle a pris le contrôle de la nation[...]

Chapitre 7

“Nous aurons un gouvernement mondial que vous le vouliez ou non, le tout est de savoir si ce sera par conquête ou par consentement.”

(James Warburg, membre du CFR, déclaration faite à l’occasion d’un témoignage devant le comité sénatorial des relations étrangères le 17 Février 1950)

[...] Une liste complète de toutes les organisations, mouvements, publications et programmes soutenant l’idée d’un gouvernement mondial, qui a leur tour sont gérés par l’axe Rockefeller-CFR de derrière le rideau, serait du volume d’un livre aussi volumineux que l’annuaire de téléphone de Los Angelès. De manière évidente nous ne pouvons mentionner ici qu’un petit nombre des éléments de la piste Rockefeller vers le gouvernement mondial.

Certainement le chemin le plus visible vers le gouvernement mondial est celui qui passe par l’organisation créée en 1945 par les rockefeller avec justement ce but: L’Organisation des Nations Unies; à cet égard, les médias sous contrôle ont créé l’illusion, le mythe que l’ONU est un organisme de débat sans fondement réel[...]

[...] Si les contrôleurs de la pensée travaillant pour les Rockefeller peuvent persuader suffisamment d’Américains d’accepter de soumettre volontairement la souverainté des Etats-Unis aux mains de l’ONU, la longue campagne pour le gouvernment mondial sera terminée. Le Nouvel Ordre Mondial sera en vigueur. Les Rockefeller désireraient payer beaucoup d’argent pour un tel coup d’état pacifique et sans effusion de sang.
De fait ils financent toutes les possibilités. Voici juste quelques organisations aux Etats-Unis qui sont financées et / ou dirigées par le consortium dirigé par les Rockefeller et leur CFR et qui font la promotion directe de l’abandon de la souveraineté américaine: (NdT: nous ne citerons ici que celles éventuellement les plus connues en France, la liste est bien plus longue dans le livre !…)
  •    American Associations for the United Nations
  •    Atlantic Union
  •    Chatham House
  •    CFR
  •    Federation of World Governments
  •    Institute of International Education
  •    Trilateral Commission
  •    United World Federalists
[...] Peu de temps après la création de la Commission Trilatérale, Zbigniew Brzezinski en fut nommé directeur. Celui-ci écrivit un article pour le journal du CFR (dont il est aussi membre) “Foreign Affairs”, dans lequel il déclara:

“Il y a tres peu de chance que le monde s’unisse volontairement derrière une idéologie commune d’un super-gouvernement. Le seul espoir pratique est que celui-ci réponde à une préoccupation sur sa propre survie…”

En clair, Brzezinski dit qu’il est temps d’oublier l’approche ouverte et bonne enfant sur le gouvernement mondial proposée par exemple par L’Union Atlantique. L’union volontaire ne sera pas effectuée à temps, mieux vaut essayer une approche nouvelle. Quelle est cette nouvelle approche ? De manière simple,  il s’agit d’imposer les mêmes contrôles sur les nations qu’un gouvernement mondial ne le proposerait, mais cette fois-ci sous le déguisement de résoudre des problèmes économiques, écologiques ou énergétiques[...]

[...] La Commission Trilatérale a été créée par David Rockefeller afin du guider ses pairs internationalistes dans l’utilisation de leur influence privée pour garantir que leur gouvernement reste dans la droite ligne, celle de la grande poussée vers la grande fusion globale. Le pays qui ignore ces avertissements et donne trop d’importance à ses problèmes domestiques, pourrait bien se retrouver confronté à des problèmes alimentaires, d’approvisionnement en carburant ou de crise financière, qui fera passer la grande dépression pour une randonnée champêtre à travers la terre promise.

Chapitres 8 & 9

“Il y a toujours eu une alliance continuelle, bien que cachée, entre les capitalistes, la politique internationale et les socialistes révolutionnaires internationaux et ce pour leur bénéfice mutuel.”

(Antony Sutton, historien, université de Stanford, Californie, dans son livre “Wall Street et la révolution bolchévique”)

Si beaucoup de biographes ont parlé de la fortune et de la puissance politique et économique quasi illimitée dont dispose la famille Rockefeller, très peu se sont frottés avec l’aspect le plus remarquable de cette famille: sa relation proche, voire intime, au travers de plusieurs générations, avec ce qui est supposé être leur ennemi juré: le communisme… Dire que tout n’est pas toujours ce qu’il paraît être relève du cliché, mais il n’y a pas de mystère plus grand que l’identité de l’ultime soutien au mouvement communiste international[...]

[...] Aujourd’hui, beaucoup de gens pensent que les communistes furent capables de s’imposer en Russie parce qu’ils furent capables de gagner le soutien des paysans qui en avaient assez de la tyrannie des Tsars. Ceci n’est pas ce qui se passa… Au moment où le tsar Nicolas II abdiqua, et pour les mois qui s’en suivirent, les leaders de la révolution bolchévique, Lénine et Trotsky, n’étaient même pas sur le sol russe. Lénine était en Suisse où il vivait en exil depuis 1905. Trotsky était lui aussi en exil, travaillant comme journaliste pour un journal communiste à New York.

Trotsky fut autorisé à retourner en Russie avec un passeport américain et Lénine fut introduit en Russie par l’intermédiaire du fameux train scellé[...]

[...] Les bolchéviques purent parvenir au pouvoir non pas parce que les masses populaires de Russie les ont rappelé pour mener la révolution; mais parce que des hommes puissants en Europe et aux Etats-Unis, incluant les membres de la famille Rockefeller, les envoyèrent en Russie. Mais alors que ces faits ont été en partie supprimés dans le narratif, le plus grand secret de toute cette période réside sans aucun doute avec le fait que le financement pour cette révolution provint en fait des super capitalistes occidentaux et principalement des Etats-Unis.

Un ouvrage à la documentation méticuleuse fut écrit par l’historien Antony C. Sutton sur le sujet: “Wall Street and the Bolshevik Revolution”

[...] Le chercheur du Hoover Institute de l’université de Stanford pose la question la plus évidente: quelle serait la motivation derrière une coalition entre les capitalistes et les bolchéviques ? Les avantages sont très clairs pour les communistes; mais quels seraient les bénéfices potentiels d’une telle union pour les super-capitalistes occidentaux?
Sutton suggère que la Russie était et est toujours aujourd’hui (NdT: rappel de la date: 1976), le plus gros marché non exploité au monde. De plus, la Russie d’hier et d’aujourd’hui représente le plus gros risque de compétition sur le marché pour l’Amérique et sa suprématie industrielle et financière.

“Wall Street”, dit Sutton, “doit avoir des sueurs froides en se représentant la Russie comme un second géant industriel à l’instar de l’Amérique”. En mettant en selle la Russie, avec un système économique improductif dépendant de l’Ouest pour des injections constantes de liquidité et de technologie afin de survivre, celle-ci pourrait être à la fois contrôlée et exploitée[...]

[...] Avec la révolution bolchévique, nous avons quelques uns des hommes les plus riches du monde qui financent un mouvement qui clâme que sa raison même d’exister est d’accaparer la richesse des cartels super-riches, des banquiers capitalistes comme les Rockefellers.

De manière évidente ces hommes n’ont aucune peur du communisme international. Il est donc très logique d’assumer que s’ils l’ont financé et sont enclins, avides même de coopérer avec celui-ci, ce doit être parce qu’ils le contrôlent. Peut-il y a voir une autre explication qui ait un sens ? N’oublions pas que pendant plus de 100 ans, ce fut une routine procédurière standard pour les Rockefeller et leurs alliés de contrôler les deux côtés de chaque conflit.

Ayant créé leur colonie en Russie, les Rockefellers et leurs alliés ont puissamment lutté depuis lors pour la maintenir en vie. Depuis 1918 cette clique s’est engagée à transférer argent et probablement plus important, de l’information technique et technologique vers l’URSS. Ceci est étudié dane le détail dans le triptique historique grandiose d’Antony Sutton “La technologie occidentale dans le développement économique soviétique”. Utilisant dans la plupart des cas des documents du département d’état américain, Sutton prouve sans doute possible que virtuellement tout ce que possède l’URSS a été acquis en occident, principalement aux Etats-Unis. Ce n’est pas une exagération que de dire que l’URSS est en fait made in the USA. Personne n’a même tenté de réfuter le travail de recherche de Sutton. C’est impossible. Mais la machine de la désinformation que compose notre médiacratie peut ignorer Sutton. C’est ce qu’elle fait. Totalement[...]

[...] Dans ses trois volumes historiques sur le développment technologique de l’URSS, le professeur Sutton prouve de manière conclusive qu’il n’y a pas un segment de l’économie soviétique qui n’est pas le résultat du transfert de technologie occidentale, surtout états-unienne.

Ceci ne peut pas être une simple coïncidence; depuis plus de cinquante ans les membres initiés de la clique réserve fédérale-CFR-Rockefeller ont soutenu et implémenté des politiques qui visaient à accroître la puissance de leur satellite: l’Union Soviétique. Ainsi, les Etats-Unis dépensent 90 milliards de dollars annuels dans un budget de défense (NdT: en 1975-76, il est bien plus considérable aujourd’hui, l’URSS ayant été remplacée par une autre “menace” également créée de toute pièce: la guerre contre le terrorisme et Al Qaïda..) dont le but est de se protéger contre un ennemi que les “initiés” bâtissent au fur et à mesure[...]

[...] En 1964 David Rockefeller et Nikita Kroutchvev ont eu un meeting à huis clos de deux heures et demie. Le Chicago Tribune du 12 Octobre 1964 rapporta:
“David Rockefeller a eu un briefing avec le président Johnson aujourd’hui en rapport avec sa récente réunion avec le premier Nikita Kroutchev de Russie… Le leader rouge a indiqué que les Etats-Unis et l’URSS devaient ‘faire plus de commerce’. Kroutchev, d’après Rockefeller, a dit qu’il désirerait voir les Etats-Unis étendre ses crédits à longs termes à l’Union Soviétique.”

En fait ce meeting entre Rockefeller et Kroutchvev eut lieu deux mois plus tôt en Juillet. Quelques soient les problèmes qui émergèrent de cette réunion, ils ne furent pas résolus avant que le président des Etats-Unis ait eu un briefing en Septembre avec Rockefeller. Un mois plus tard, Kroutchev fut déposé. David Rockefeller rencontra peu aprés son remplaçant sur les bords de la Mer Noire et en Octobre 1966, Lyndon Johnson annonça sa nouvelle politique de “réconciliation” avec l’Europe de l’Est. Ceci fut fait dans une période où le bloc communiste escaladait son aide au Vietnam, dont virtuellement tout le matériel militaire venait des usines de munitions et d’armement d’Europe de l’Est[...]

[...] Le Viet Cong et l’armée nord-vietnamienne recevaient 85% de leur armement et matériel de guerre des nations du pacte de Varsovie… Les USA ont équippé et financé les deux côtés de cette terrible guerre du Vietnam qui a tuée près de 55 000 soldats américains par proxy (NdT: et plus d’un million de Vietnamiens bien sûr…). Une fois de plus, les médias de masse ont laissé le public américain dans l’ignorance de cette vérité choquante et scandaleuse[...]

[...] Ainsi, par la possibilité d’achat de patentes pour les communistes, les Rockefeller sont virtuellement en charge de la recherche et du développement de la machine militaire soviétique. Leur but est de permettre aux soviétiques de produire en masse de la technologie made in USA. Insistons ici sur le fait que le transfert d’une telle connaissance technologique est bien plus important que la vente d’armes[...]

[...] Parce que les Rockefeller ont maintenant le contrat exclusif de suppléer des patentes américaines aux Soviétiques, ils sont, par définition, les agents de la grande machine rouge. Il va sans dire qu’ils sont les plus gros agents des communistes de l’histoire. Ou peut-être serait-il plus à propos de décrire les communistes comme les agents des Rockefeller ?

Un outil de plus en plus important pour le pillage des Etats-Unis par les Rockefeller et leurs cohortes est la banque Export-Import, connue sous le nom de Eximbank (NdT: qui existe toujours de nos jours et est très proche de l’administration Obama). Cette banque fut établie en 1934 afin de financer et de promouvoir le commerce avec l’URSS. Mais ce ne fut pas avant que Richard Nixon eut signé la “détermination présidentielle” le 18 Octobre 1972, que l’Eximbank commença à financer le commerce avec les Soviétiques[...]

[...] Comme faisant part de l’effort phénoménal de bâtir l’économie soviétique en pillant les Etats-Unis, par le crédit (NdT: çà ne date pas d’hier ces histoires de crédits…), Richard Nixon nomma William Casey comme directeur de la banque Export-Import (NdT: ce même William Casey deviendra directeur de la CIA sous George Bush père, de fait, depuis la création de la CIA après la seconde guerre mondiale, une très vaste majorité de ses directeurs ont été liés de près à Wall Street, de là à dire que la CIA est une ramification, création de Wall Street, il n’y a qu’un pas facilement franchissable…). Casey, membre du CFR contrôlé par les Rockefeller est l’homme parfait pour le travail que Nixon et Kissinger ont en tête[...]

[...] Mais David Rockefeller est sûr du repaiement de la dette. Les prêts de la Chase sont garantis par les contribuables américains à travers d’autres agences gouvernementales comme l’Overseas Private Investment Corporation (OPIC) et la Foreign Credit Insurance Association (FCIA). Gràce à cela, le contribuable américain est pris à l’hameçon jusqu’au dernier centime. De la même manière qu’avec les prêts de l’Eximbank, l’OPIC et la FCIA garantissent aux “hommes d’affaires” un profit quelque soit la manière dont l’affaire se termine. Ce qui se passe en fait, est que nous donnons aux soviétiques une usine de camions valant 2 milliards de dollars tout en assurant les Rockefeller de leur commission sur le contrat[...]

[...] “L’URSS est le plus grand marché non développé pour les Etats-Unis (NdT: dans les années 70)”, dit Alfred R. Wentworth, senior vice président de la Chase Manhattan Bank et directeur de l’agence moscovite récemment ouverte. “Ce marché s’ouvre maintenant et nos banques désirent participer à la multitude d’opportunités ainsi créées.” … Comme le magazine Newsweek titra: “Le Kremlin a maintenant un camarade à la Chase”[...]

[...] Le professeur Sutton a assemblé un puit d’abondance concernant les preuves, que personne n’a jamais essayé de réfuter. Dans un premier temps, il prouva que le système communiste d’état est un système stagnant incapable d’inovation et de productivité. Sa survie même au niveau basique a requis des transfusions régulières de fonds et de technologie. Sans aide de l’Ouest, l’URSS se serait effondrée depuis longtemps; mais sans elle, les Rockefeller et les autres super-riches n’auraient pas eu “l’ennemi” à disposition pour justifier leur plans de gouvernment mondial monopoliste. L’URSS fut d’abord sauvée par Herbert Hoover avec de la nourriture; puis est venu la NEP de Lénine, sa nouvelle politique économique, qui a rouvert les portes de la Russie aux super-capitalistes… La seconde guerre mondiale a vu des prêts de 11 milliards de dollars… Pendant la présidence de Kennedy, nous leur avons donné du blé pour nourrir les ouvriers d’usine. Pendant la guerre du Vietnam, les Etats-Unis ont envoyé de la logistique déterminante aux pays du bloc de l’Est, qui produisit au Nord-Vietnam son équipement de guerre pour tuer notre propre soldats. Aujourd’hui nous leur fournissons la plus grande usine de camion au monde, des ordinateurs très sophistiqués et de a technologie de production. Cerise sur la gâteau, le Wall Street Journal du 25 Avril 1975 titre: “Les Etats-Unis envoient en catimini de l’uranium à l’URSS afin de fabriquer du combustible nucléaire.”

Comme l’observa justement l’ex-secrétaire d’état à la marine James Forrestal: “La consistence n’a jamais étee une marque de stupidité. Si les diplomates qui ont mal géré notre relation avec l’URSS étaient simplement stupides, ils feraient de temps en temps une erreur en notre faveur.” En bref, ce qui se passe n’est pas simplement le pillage de notre économie, mais de la trahison pure et simple[...]

A suivre





Le projet de la famille Rockefeller par Super_Resistence

mardi 4 octobre 2011

SUISSE: LA CRISE DE LA DETTE, LA BNS ET LA POLITIQUE DE L'UDC



Xaviez Schwitzguebel sur la crise de la dette... par Mecanopolis président des jeunes UDC de Genève, est candidat au Conseil national (parlement). Nous avons déjà eu l’occasion de l’interroger pour Mecanopolis et nous présenterons, aujourd’hui un nouvel entretien vidéo où il s’exprime sur la crise de la dette, la décision de la BNS de plafonner le franc suisse à 1.20 CHF pour 1.00 euro, et la politiquede l’UDC.

dimanche 2 octobre 2011

LA GUERRE CONTRE LE TERRORISME EST-ELLE UNE FRAUDE ?






Par Dr. Paul Craig Roberts

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Dans la dernière décennie, Washington a tué, estropié, forcé à l’exode et créé des veuves et des orphelins par millions dans six pays musulmans différents et tout cela au nom de “la guerre contre le terrorisme”. Les attaques de Washington contre ces pays constituent une pure agression et impactent principalement les populations civiles et les infrastructures de ces pays, ce qui constituent donc, des crimes de guerre d’après la loi internationale. Des nazis ont été exécutés précisément pour ce que fait Washington aujourd’hui.

De plus, ces guerres et attaques militaires ont coûté aux contribuable américains 4 000 milliards de dollars entre ce qui a déjà été payé et les futurs coûts cumulés, ceci constitue un tiers de la dette publique accumulée ! Résultant dans une crise du déficit budgétaire qui menace directement la sécurité sociale, la valeur du dollar et son rôle comme monnaie de réserve mondiale, tout en enrichissant bien au delà de tout ce qui a déjà été vu dans l’histoire, le complexe militaro-industriel et de la sécurité ainsi que ses promoteurs.

Peut-être que le coût le plus élevé de cette “guerre contre le terrorisme” de Washington a été payé par la constitution et les libertés civiles. Tout citoyen américain que le gouvernement accuse se retrouve sans aucun droit et sans droit constitutionnel. Le régime Bush-Cheney-Obama a chamboulé le plus grand succès de l’humanité, celui de rendre le gouvernement responsable devant la loi.

Si nous regardons autour de nous pour la terreur de laquelle l’état policier et une décennie de guerre sont censés nous protéger, cette terreur est très difficile à trouver. A part pour les attentats du 11 Septembre, en assumant que nous acceptions l’explication conspirationiste officielle du gouvernement, il n’y a plus eu d’attaques terroristes sur le sol états-unien. En fait, comme la chaîne de télévision RT l’a démontré le 23 Août dernier, un programme de recherche de l’université de Californie a découvert que les “complots terroristes” domestiques, gonflés au delà du raisonnable par les médias, avaient été ourdis par des agents du FBI.

http://rt.com/usa/news/fbi-terror-report-plot-365-899/

Il y a maintenant 15 000 agents du FBI travaillant sous couvert, dix fois le nombre de ce qu’il y en avait lors de la guerre du Vietnam, lorsque les manifestants étaient suspectés de sympathie communiste. Comme il n’y a pas de complot terroriste à déjouer pour cette fantastique force qui travaille clandestinement, le FBI justifie son budget, ses alertes à la terreur et ses enquêtes invasives sur les citoyens américains en fomentant “des complots terroristes” et en trouvant quelques individus mentalement dérangés à coincer. Par exemple, le complot à la bombe de Washington D.C, le complot du métro de New York, le complot pour faire sauter la tour Sears de Chicago, tous furent des créations organisées et gérées par des agents du FBI.

RT rapporte que seulement trois complots ont pu peut-être ourdis indépendamment du FBI, mais comme aucun ne fonctionna, ils ne sont vraisemblablement pas l’œuvre d’une organisation terroriste professionnelle comme Al Qaïda est supposée être. La voiture piégée de Time Square n’a pas explosé et apparement ne pouvait pas exploser.

La dernière figure de style du FBI a piégé un bostonien, Rezwan Ferdaus, qui est accusé d’avoir voulu attaquer le pentagone et le capitole avec des modèles réduits d’avions bourrés d’explosif C4. La procureur générale Carmen Ortiz a rassuré les Américains en leur disant qu’ils ne furent jamais en danger car les agents du FBI étaient en contrôle du complot.

http://www.usatoday.com/news/washington/story/2011-09-28/DC-terrorist-plot-drone/50593792/1

Le complot Ferdau-FBI pour faire sauter le pentagone et le capitole avec des modèles réduits d’avions a produit une inculpation sur le chef qu’il “avait donné un soutien matériel à une organisation terroriste” et comploté pour détruire des bâtiments fédéraux, un chef d’accusation sérieux qui implique une peine de 20 ans de réclusion criminelle pour chaque building ciblé.

Quelle organisation terroriste Ferdau a t’il servi? Certainement pas Al Qaïda, qui a soi-disant bluffé toutes les 16 agences de renseignement américaines, tous les services de renseignement alliés de l’OTAN et d’Israël, le NORAD, le NSC, le contrôle aérien, Dick Cheney, et quatre fois les sécurités des aéroports en une heure de la même matinée. Une organisation terroriste de cette haute capacité ne s’impliquerait sûrement pas dans un complot aussi pathétique que de faire sauter le pentagone avec une maquette d’avion.

En tant que citoyen américain qui a servi l’état pendant de nombreuses années et qui a toujours respecté et défendu la constitution, un devoir patriotique, j’ose espérer que cette question a déjà traversé l’esprit des lecteurs, à savoir pourquoi sommes-nous tenus de croire un instant qu’un tout petit avion modèle réduit pourrait faire sauter le pentagone là où un avion de ligne Boeing 757 chargé de kérosen ne fut pas capable de faire le boulot, n’y faisant de fait qu’un petit trou certainement pas assez grand pour y faire passer un avion de ligne.

Quand j’observe la naïveté de mes concitoyens quant aux “complots terroristes” absurdes que le gouvernment fabrique, cela me fait réaliser que la peur est la plus formidable des armes à la disposition de tout gouvernment pour faire avancer un agenda non déclaré. Si Ferdaus va au tribunal, il n’y a aucun doute qu’un jury le condamnera pour complot à faire sauter le pentagone et le capitole avec des modèles réduits d’avions. Il sera très sûrement torturé ou forcé pour une négotiation de plaidoirie.

Apparemment, la plupart des Américains sont tellement gouvernés par la peur qu’ils n’éprouvent aucun remord à ce que “leur” gouvernement assassine et force à l’émigration des millions de gens innocents. Dans l’esprit des Américains, un milliard “d’enturbannés” ont été réduits à leurs yeux à l’état de terroristes et méritent d’être exterminés. Les Etats-Unis sont sur la voie d’un holocauste qui fera passer la terreur connue par les juifs sous le national-socialisme, comme un simple précurseur.

Pensez à ceci: n’êtes-vous pas étonnés qu’après une décennie (deux fois et demies la longueur de la seconde guerre mondiale) de massacres de musulmans et de destruction de familles et de leur futur dans six pays différents, il n’y ait pas eu de véritable attaque terroriste ici aux Etats-Unis ?

Pensez une minute seulement au comment il serait facile de perpétrer des actes terroristes aux Etats-Unis s’il y avait des terroristes sur notre sol. Un terroriste d’Al Qaïda, une organisation qui a soi-disant perpétrée le 11 Septembre, la plus humiliante défaite jamais essuyée par une puissance occidentale, “la seule super-puissance mondiale” même, penserait-il encore à détourner un avion face à la sécurité en place, ou en faire sauter un ?

Certainement pas, surtout lorsqu’il y a tellement de cibles plus faciles. Si l’Amérique était vraiment “infiltrée par la menace terroriste”, un terroriste irait tranquillement à une heure de pointe dans un aéroport dans la foule qui attend pour passer la “sécurité” et ferait sauter sa bombe. Cela tuerait bien plus de personnes que de faire sauter un avion et cela rendrait évident le fait que la “sécurité des aéroports” ne donne pas plus de sécurité.

Ce serait un véritable jeu d’enfant pour des terroristes que de faire sauter des centrales électriques relais puisqu’il n’y a personne dedans, juste un grillage de périmètre pour les garder. Ce serait facile de faire sauter des centres commerciaux. Il serait facile de déverser des boîtes de clous dans des rues encombrées et les autoroutes au moment des heures de pointe et ainsi de paralyser les artères de circulation principales pendant des jours. Avant chers lecteurs que vous ne m’accusiez de donner des idées aux terroristes, ne croyez-vous pas que ce genre d’idées soient déjà passées par la tête des terrorisres capables de faire le 11 Septembre ?

Mais rien ne se passe. Alors le FBI arrête un type pour avoir planifié de faire sauter l’Amérique avec des modèles réduits d’avions. C’est très déprimant de constater combien d’Américains vont croire cela.

Considérez également le fait que les néo-conservateurs américains qui ont orchestrés la “guerre contre la terreur”, n’ont aucune protection. Que la protection des services secrets sur Bush et Cheney est minimale. Si l’Amérique était réellement sous la menace terroriste, spécifiquement sous celle de ceux qui ont perpétrés le 11 Septembre, tous les néo-conservateurs, incluant Bush et Cheney pourraient être assassinés en une heure par un beau matin ou une belle soirée.

Le simple fait que les néoconservateurs tels Paul Wolfowitz, Donald Rumsfeld, Condi Rice, Richard Perle, Douglas Feith, John Bolton, William Kristol, Libby, Addington etc, vivent tous sans protection et sans aucune crainte est la preuve même que l’Amérique ne fait face à aucune menace terroriste.

Pensez maintenant aux affaires des complots à la chaussure piégée, celui de la bouteille de shampoing et celui du slip explosif. Les experts, autres que ceux prostitués payés par le gouvernement, disent que tous ces “complots” sont des non-sens total. “les “chaussure et slip explosifs” étaient de la poudre de feux d’artifices colorés qui n’aurait pas fait sauter une boîte de conserve. La bombe liquide, qui devait être mélangée dans les toilettes d’un avion, a été réfutée par les experts comme étant purement fantaisiste.

Quel est le but de tous ces faux-complots ? Rappelons-nous que tous les rapports confirment que le “terroriste au slip explosif” a été amené à l’avion par un officiel, malgré le fait que ce “terroriste” n’avait pas de passeport. Aucune enquête n’a jamais été effectuée par le FBI ou la CIA, ou par quiconque pour savoir pourquoi quelqu’un qui n’a pas de passeport a été admis sur un vol international.

Le but de ces complots arrangés est d’augmenter le niveau de la peur et de créer une opportinité pour l’ancien Tsar de la sécurité intérieure Michael Chertoff de faire une fortune en vendant ses scanners-pornographes à l’agence de sécurité des aéroports (TSA).

Le résultat de tous ces “complots terroristes” gonflés par les médias est que tous les citoyens américians, même ceux avec de hautes fonctions d’état, ne peuvent plus monter dans un avion sans enlever leurs chaussures, leur veste, leur ceinture, se soumettre à des scanners-pornographiques ou être sexuellement molestés dans la procédure de palpation de sécurité. Rien n’est plus évident que le fait que la “sécurité des aéroports” est incapabe de reconnaître un terroriste musulman d’un patriote américain fanatique, d’un sénateur, d’un général des Marines ou d’un agent de la CIA.

Si un passager avait besoin pour des raisons de santé ou autre de quantités plus importantes de liquides et de crèmes au delà de la limite imposée par le TSA sur la quantité de dentifrice, de shampoing, de nourriture ou de médicaments qu’un passager puisse embarquer à bord, celui ou celle-ci devrait obtenir une autorisation spéciale de la dite TSA, autorisation rarement agréée. Un des grands moments de l’Amérique fut ce cas documenté sur YouTube d’une femme mourante dans un fauteuil roulant, qui avait besoin d’une nourriture spéciale et qui a vu sa nourriture être jettée à la poubelle par la gestapo / TSA malgré une autorisation écrite de la même TSA, sa fille arrêtée pour protestations et la femme mourante laissée seule dans son fauteuil dans l’aéroport.

Ceci est Amerika aujourd’hui. (NdT: écrit avec cette ortographe dans le texte original, montrant la volonté de l’auteur de dresser un parallèle entre les Etats-Unis d’aujourd’hui et l’Allemagne nazie) Les attaques sur des citoyens innocents sont justifiées par les décérébrés de l’extrême droite comme étant “des mesures chargées de nous protéger contre le terrorisme”, d’une “menace” qui de toute évidence n’existe pas.

Aucun Américain n’est en sécurité aujourd’hui. Je suis un ancient membre du comité de la défense du parlement. J’ai eu une classification secret défense alors que j’avais accès à des informations relevant de tous les programmes d’armements des Etats-Unis. En tant qu’économiste en chef du comité du budget du parlement, j’avais des informations concernant les budgets de l’armée américaine et de la sécurité. Comme secrétaire d’état au ministère des finances, je recevais chaque matin le briefing de la CIA que recevait aussi le président ainsi qu’une foule d’informations concernant la sécurité de la nation.

Quand j’ai quitté le ministère des finances, le président Reagan m’a nommé comme membre d’un comité super secret qui était chargé d’enquêter sur l’évaluation que faisait la CIA sur les capacités de l’URSS. Ensuite je fus consultant au Pentagone. J’ai obtenu toute sorte de classifications.

Malgré mon passé et mes classifications de haut niveau passées au sein du gouvernement et la confiance portée en ma personne par la confirmation sénatoriale d’une nommination par le président, la police de l’air ne peut pas me distinguer d’un terroriste.

Si j’avais une passion pour les modèles reduits d’avions ou si je participais à des manifestations anti-guerre, je serai sans nul doute également arrêté.

Après mes services publiques dans le dernier quart du XXème siècle, j’ai expérimenté dans la première décennie du XXIème siècle toutes les réussites de l’Amérique, bien que leurs traces aient été effacées. A leur place s’est dressé le désir monstrueux d’hégémonie et de la richesse hyper-concentrée. La plupart de mes amis et les citoyens que je connais sont en général incapables de voir et reconnaitre la transformation de l’Amérique en un état policier va t’en guerre qui a le pire ratio de distribution de la richesse de tout le monde occidental.

Il est incroyable que beaucoup d’Américains, citoyens de la “seule super-puissance au monde”, pensent réellement qu’ils sont menacés par les musulmans, qui n’ont pas d’unité, pas de marine, pas d’aviation, pas de forces nucléaires, pas de missiles capables de traverser les océans.

En fait, un grand pourcentage de ces “populations menaçantes”, spécialement la jeunesse, est amoureuse de la liberté sexuelle qui existe en Amérique. Même les dupes iraniens de la “révolution verte” orchestrée par la CIA ont oublié que Washington a déjà éjecté un de leur gouvernement démocratiquement élu dans les années 50. Malgré une longue décennie d’actions militaires abusives à leur encontre, beaucoup de musulmans regardent toujours l’Amérique comme leur salut. Leurs leaders sont simplement achetés avec de très grandes sommes d’argent.

Avec sa “menace terroriste” et Al Qaïda se dégonflant après le soi-disant assassinat de son leader, Ben Laden, qui fut laissé sans protection et désarmé par son “organisation terroriste internationale”, Washington a créé un nouvel homme de paille ou entité bouc-émissaire: les Haqqanis.

D’après John Glaser et des officiels anonymes de la CIA, le chef d’état major Mike Mullen a “exagéré” le cas contre le groupe insurgent des Haqqanis, quand il clama, afin de donner un motif à une invasion US du Pakistan, que les Haqqanis étaient un bras opérationnel des services secrets du gouvernement pakistanais, l’ISI. L’amiral Mullen se détache maintenant de son “exagération”, doux euphémisme pour un mensonge. Son capitaine aide de camp John Kirby a dit que “les accusations de Mullen visaient à influencer les pakistanais pour qu’ils interviennent contre les Haqqanis et leur réseau”. En d’autres termes, les Pakistanias devraient tuer encore plus de leurs propre citoyens afin d’en économiser la tâche à l’Amérique.

Si vous ne savez pas ce qu’est le réseau Haqqani, ne soyez pas surpris. Vous n’aviez jamais entendu non plus parler d’Al Qaïda avant le 11 Septembre 2001. Le gouvernement américain crée de toute pièce toute homme ou entité de paille nécessaires ainsi que les incidents corollaires afin de continuer plus avant l’agenda néo-conservateur d’hégémonie mondiale, de plus grands profits pour l’industrie de l’armement.

Pendant 10 ans, la population de la super-puissance américaine est restée assise, terrifiée par les mensonges racontés par le gouvernement. Pendant que les Américains étaient terrifiés par des “terroristes” qui n’existent pas, suçant leur pouce, des millions de gens dans six pays différents ont eu leur vie détruite. Aussi loin qu’il y ait de preuve, les Américains sont imperturbables et imperturbés par le nombre extravagant de meurtres d’autres personnes dans des pays qu’ils sont bien incapables de placer sur une carte.

Vraiment, l’Amérik est la lumière du monde, un exemple pour tous.







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samedi 1 octobre 2011

GRAND REQUIN BLANC





Fichier:White shark.jpgLe grand requin blanc doit son nom à la couleur blanche de sa face ventrale, contrastant avec la couleur grise de sa face dorsale.

Le Grand requin blanc (Carcharodon carcharias) est une espèce de requin de la famille des lamnidés. Avec une taille maximale dépassant les 6 mètres, il est l'un des plus grands poissons prédateurs vivant actuellement dans les océans. Il est considéré comme un requin dangereux du fait des nombreuses attaques dans lesquelles il est impliqué contre les hommes. Néanmoins, contrairement à certaines idées reçues, il n'est pas un « mangeur d'hommes » et l'homme n'est pas une proie pour lui[1]. Il se nourrit surtout de pinnipèdes, de poissons, de tortues de mer et occasionnellement de certains cétacés.



LES DENTS  DE LA MER


Ce requin est très célèbre pour avoir été le sujet du best-seller Les Dents de la mer de Peter Benchley et d'un film à succès de Steven Spielberg, issu du livre.


Il est le seul représentant actuel du genre Carcharodon, certains taxonomistes y classent en effet également le gigantesque requin fossile appelé Carcharodon megalodon mais cela fait débat au sein de la communauté scientifique et C. carcharias n'est toutefois plus considéré comme étant le descendant direct du Megalodon.



Le poids du grand requin blanc mâle varie entre 680 kg et 2000 kilos. Celui de la femelle est compris entre 1000 et 1900 kilos. Ellis et McCosker écrivent en ce qui concerne le poids des requins blancs et concluent qu'ils peuvent peser jusqu'à 2 tonnes, mais notent également que le plus lourd pesé scientifiquement, pesait 2,2 tonnes

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http://www.maxisciences.com/requin/l-039-attaque-surrealiste-d-039-un-grand-requin-blanc-filmee-en-australie_art33579.html

VOILIER


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La voile un sport, une passion, une liberté! Ou tout simplement un moyen de transport

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The real voyage of discovery consists not in seeing new landscapes,but in having new eyes.~ Marcel Proust ~

Un voilier (ou bateau à voiles, navire à voiles) est un bateau ou navire propulsé par la force du vent. Historiquement, les voiliers ont été le premier moyen de transport à moyenne et longue distance avant l'invention des machines à vapeur. Ils transportaient les marchandises, les passagers, le courrier


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