vendredi 28 septembre 2012

SOCIETE DEVENUE UN PROBLEME BIOCHIMIQUE


LES EPISODES SOUS SEDATIFS-HYPNOTIQUES ETAIENT SI VIOLENTS QUE DES CHERCHEURS ALLAIENT LE QUALIFIER D'EFFET  <<  DR JEKYLL ET M.HYDE  >>




LA SOCIETE EST DEVENUE, DE TOUTE EVIDENCE, UN PROBLEME BIOCHIMIQUE

Toutes les substances toxiques ( les agents conservateurs, les pesticides, les toxines provenant de l'environnement - c'est -à -dire le niveau de pollution propre au milieu urbains et toute la panoplie des drogues médicales et illégales ) pourraient pareillement se loger dans les tissus adipeux et causer des difficultés. Et que même des quantités relativement faibles de résidus toxiques provenant de la pollution atmosphérique peuvent affecter le comportement et empêcher de penser clairement.


LES DROGUES ALTERENT LES PERCEPTIONS, LES SENSATIONS, LA COMMUNICATION ET LE COMPORTEMENT

La raison principale de vivre, c'est d'avoir des sensations, du plaisir, si cela est supprimé par les drogues, vaut-il la peine de vivre ?

Pour estimer à quel point de tels résidus peuvent altérer le comportement et la pensée, recentrons-nous sur les drogues. Comme on l'a dit, l'impact des drogues et des résidus de drogues sur le comportement et les perceptions est considérable. Parmi la quantité d'articles et d'ouvrages sociologiques régulièrement présentés pour expliquer la toxicomanie après les années soixante se trouvait une obscure étude datant de 1972 sur les héroinomanes new-yorkais, transformés par la révolution psychédélique. L'assertion centrale, radicale pour l'époque, était la suivante :  <<  Une race nouvelle et différente d'héroinomanes vit dans les rues des grandes villes américaines.  >>  Descendant des usagers de drogues multiples de 1967 et 1968, ces toxicomanes de la fin du vingtième siècle étaient décrits comme ne faisant aucune discrémination, c'est-à-dire qu'ils prenaient ce qu'ils pouvaient, autant du marché illégal de l'héroine que, fait significatif, d'individus vendant dans la rue des produits pharmaceutiques normalement délivrés sur ordonnance. En conséquence, et en contraste avec les portraits antérieurs de toxicomanes relativement pacifiques, ces toxicomanes étaient particulièrement violents.

Des recherches ultérieures le confirmèrent. Une étude majeure de consommateurs d'héroine, menée à Dade County en Floride, découvrit que 573 toxicomanes avaient commis 215 105 délits en l'espace d'un an seulement.Environ la moitiè étaient des délits  <<  sans victimes  >>, principalement de prostitution et de contrebande. Mais on citait également des vols et agressions, plusieurs étant de nature extrême et irraisonnée. Une seconde étude révéla la même chose et pire encore : sur n'importe quelle période de douze mois, 356 usagers avaient commis 120 000 crimes de type homicides, vols, viols et coups et blessures. De plus, 78 pour 100 des personnes condamnées pour meurtre violent étaient des consommateurs réguliers, et un nombre important de ces crimes n'avait même pas pour but de voler de l'argent pour ce procurer de la drogue. Les victimes étaient assassinées, violées et battues au hasard et sans la moindre raison logique.

Ces conclusions, de la part d'une communauté sociologique qui ne tire de conclusions générales qu'avec prudence, font froid dans le dos. Se pourrait-il, suggéra la Narcotic and Drug Research de New York, que nous fassions maintenant face à un  <<  modèle systématique  >>  de délit où l'usage de drogue ou de stupéfiants va de pair avec l'usage de la violence ? Une réponse partielle allait être fournie par le modéle effrayant de comportement violent que l'on retrouve chez ceux qui usent de psychotropes légaux. A noter, une étude canadienne de 1975 montra que des détenus de correctionnelle étaient davantage enclins à commettre des actes de violence lorsqu'ils étaient médicamentés avec des psychotropes. Les épisodes sous sédatifs-hypnotiques étaient si violents que des chercheurs allaient le qualifier d'effet  <<  Dr Jekyll et M. Hyde  >>. Parmi les autres effets secondaires des antidépresseurs fréquemment débattus, considérons ce qu'on a appelé le facteur d'irritabilité ou quotient d'anxiété, expressions absurdement euphémiques si l'on considère des personnes comme Ilo Grundberg, une femme qui massacra sa mère âgée de 83 ans au cours de ce que l'on ne peut qu'appeler une rage psychotropique. ( Elle fut finalement acquittée après que le ministère public fut incapable d'établir une quelconque raison à ce meurtre qu'elle ne se souvenait même pas avoir commis.) D'autre part, le dossier Prozac suggère une situation encore plus sinistre que ce qui est décrit dans la notice des contre-indications. Prenons par exemple le cas célèbre de Joseph Wesbeecker qui arriva dans son ancien lieu de travail avec une dose  <<  thérapeutique  >>  de Prozac dans le sang et abattit vingt personnes avec un fusil d'assaut.

On pourrait en mentionner bien d'autres : la fusillade dans la cour du lycée Columbine, au Colorado, organisée par un étudiant devenu enragé suite à la prise de psychotropes. Aussi les tueries commises par des adolescents dans l'Oregon, le Mississipi et en Géorgie. Mais le point important est simplement ceci : il y a tout juste un siècle, comme les sociologues sont enclins à nous le rappeler, Jack l'Eventreur choqua la plus grande partie du monde civilisé avec le meurtre de sept prostituées anglaises. Tandis que commence ce nouveau millénaire, il semble que nous rencontrions Jack l'Eventreur tous les deux ou trois ans, et le plus souvent il est sous psychotropes.

C'est dans cette perspective plus large que LRH déclara :  <<  La société est devenue, de toute évidence, un problème biochimique.  >>  Il poursuivit en décrivant le chaos ainsi que la crise morale généralisée qui en résultent et présenta alors sa solution. Elle est très simple à appliquer et destinée à un usage largement répandu. Il exprima aussi sincèrement qu'il espérait que nous étions conscients qu'elle est notre seul espoir à ce jour. PAD/BSU

 http://french.drugrehab.lronhubbard.org/page14.htm
 

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