samedi 30 janvier 2016

CHATEAU D'OEX EN BALLONS




Paysage magnifique avec le Glacier des Diablerets-Gsteig-Gstaad-Rougemont-Château d'Oex

A Château d'Oex, chaque année comme le veux la tradition, se déroule le festival international de ballons. Grâce à son microclimat exceptionnel, la capitale mondiale de la mongolfière en milieu alpin, accueille de nombreux aérostiers venus du monde entier et de fantastiques ballons aux formes spéciales.
Cette année 2016, le vent souffle en direction de l'Oberland Bernois. A cet endroit, direction Gstaad, le ciel est parsemé de ces magnifiques ballons de toutes les formes et de toutes les couleurs, ce qui fait la joie des petits comme des grands!





Un spectacle à COUPER LE SOUFFLE unique au monde!
(voir la vidéo de P.A. Doriot, Château d'Oex en ballons))

                          CHATEAU D'OEX EN BALLONS

mardi 26 janvier 2016

MONDE MAGIQUE SOUS MARIN



   REVERIE AU MILIEU DES POISSONS 



Magnifique monde sous-marin, des poissons de toutes les couleurs, tortues, requins en ébullition



Le 28 janvier 2016, c'est ma fête!

Ce que je fais n'est jamais ennuyeux, puisque je fais ce qui me plaît

Né à Reconvilier (JB)

Mon école et l'église de Chaindon, ou j'ai passé mon enfance.
Mon premier film au cinéma avec Charlie Chaplin ou Charlot
  

Avec Richard Anthony, musique de mon enfance!


samedi 16 janvier 2016

BEAU OUI COMME BOWIE




David Bowie - ses derniers jours
David Bowienom de scène de David Robert Jones, né le  à Londres, dans le quartier de Brixton, et mort le 1 à New York, dans le quartier de Manhattan2, est un chanteurcompositeurproducteur de disquespeintre et acteur britannique.

Après des débuts hésitants entre folk et variété, dans la deuxième moitié des années 1960, et un détour par le mime, il se fait connaître du public, en juillet 1969, lorsque son titre Space Oddity entre dans le top five des meilleurs ventes au Royaume-Uni. Mais c'est trois ans plus tard, en 1972, que Bowie devient réellement unevedette par l'intermédiaire de son alter ego décadent, Ziggy Stardust. Il s'impose alors avec un glam rock sophistiqué et apocalyptique et des spectacles flamboyants. À cette époque, il produit et collabore aux carrières solo de Lou Reed et d'Iggy Pop


Un traitement experimental lui avait redonné espoir
David Bowie
David Bowie avait retrouvé un peu d'espoir grâce à un traitement expérimental a confié au Times son ami de longue date, le producteur Robert Fox.

Dans le Times, le producteur de théâtre et de cinéma Robert Fox a en partie levé le voile sur les derniers jours de David Bowie, son ami de longue date. Le chanteur, incinéré dans le plus grand secret cette semaine, avait bénéficié d’un traitement quasi-expérimental qui avait eu des effets bénéfiques sensibles sur d’autres patients. « Il ne se sentait pas bien mais il ne voulait pas en faire tout un plat, confie Robert Fox. Mais ce traitement lui avait redonné un peu d’espoir. Il espérait que cela lui permettrait de prolonger sa vie. David avait confiance en la médecine, il pensait que de nouveaux traitements de plus en plus efficaces seraient mis au point. »

An illustration of cancer cells.
Le cancer un mystère!

« Cancer » est un terme général désignant une maladie pour lesquelles certaines cellules d'un organisme adoptent un comportement anormal.


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Philosophie

Les milliards de cellules dans un corps sont comme une armée dans un pays ou chaque soldat a ses propres caractéristiques. Le commandant en chef est le général.

Avec un bon général qui donne des ordres clairs et qui fait marcher son armée, les soldats sont heureux et servent leur pays. Si au contraire le général serait psychotique ou mauvais, on verrait les soldats se faire la malle. Les cellules à l'instar des soldats, pourraient en faire autant avec un mauvais général au poste de commande.

Les cellules font partie de la procréation, elles sont sensibles à cette origine; les relations amoureuses, le sex, le couple, le mariage, la famille.
Les relations difficiles, les couples qui se déchirent, l'adultère, etc. pourraient être la cause principale de la madie du cancer! On pourrait dire qu'il s'agirait d'une maladie psychosomatique.

Permalien de l'image intégrée

David Bowie, Art Garfunkel, Paul Simon, Yoko Ono and John Lennon at the 17th Grammy awards.


Hommage à David Bowie


mercredi 13 janvier 2016

VILLE DES TSARS DE RUSSIE



SAINT-PETERSBOURG
Une des plus belle ville d'Europe!


GIF P.A. DORIOT



Les Tsars de Russie, les Pharaons de l'Egypte antique, ou les Rois d'Europe ont fait construire durant leur règne, de véritables chefs d'oeuvre architecturaux.


Saint-Pétersbourg (prononcé [sɛ̃ pe.tɛʁs.buʁ] ; en russe : Санкт-Петербу́ргSankt-PeterbourgAPI : /sankt pʲɪtʲɪrˈburk/ Prononciation) est la deuxième plus grande ville de Russie par sa population, avec 5 191 690 habitants en 2015, après la capitale Moscou. Elle est située dans le nord-ouest du pays sur le delta de la Neva, au fond du golfe de Finlande dans la mer BaltiqueCapitale de l'Empire russe de 1712 jusqu'en mars 1917, ainsi que de la Russie dirigée par les deux gouvernements provisoires entre mars et octobre 1917, Saint-Pétersbourg a conservé de cette époque un ensemble architectural unique qui en fait une des plus belles villes d'Europe. Deuxième port russe sur la mer Baltique après Primorsk, c'est aussi un centre majeur de l'industrie, de la recherche et de l'enseignement russe ainsi qu'un important centre culturel européen. Saint-Pétersbourg est la deuxième ville d'Europe par sa superficie et la cinquième par sa population.

mardi 12 janvier 2016

FERRARI EN OR



UNE FERRARI 458 SPIDER EN OR
Le propriétaire de cette voiture plaqué or, est le champion du monde de kickboxing!


La marque Ferrari est à la pointe de la technologie, ici avec ce nouveau bolide futuriste qui devrait voir le jour en 2016!

mardi 5 janvier 2016

JAMES BOND GIRLS


Une James Bond girl est un personnage féminin qui a un lien affectif avec James Bond, que ce soit dans un film, un roman ou un jeu vidéo. Par extension, on qualifie également de « James Bond girl » les comédiennes qui incarnent ces personnages.
Ces jeunes femmes au physique avenant sont souvent des espionnes, des victimes ou des criminelles rencontrées par 007 au cours de ses différentes missions. Elles entretiennent rapidement (à quelques exceptions près) une relation amoureuse et/ou sexuelle avec Bond.

Toutes les femmes croisées par Bond ne font pas partie du « club » : par exemple, « M » au féminin et Miss Moneypenny ne sont usuellement pas considérées comme des James Bond girls.
Connu par son matricule OO7, est un personnage de fiction créé en 1953 par l'écrivain et ancien espion britannique Ian Fleming dans le roman casino royal.

samedi 2 janvier 2016

VINTAGE TERRY AND THE PIRATES

LA VERITABLE HISTOIRE DES PIRATES DES CARAIBES 


HIER J'AURAIS PU ETRE UN PIRATE - VOUS AURIEZ PU ETRE UN PIRATE !

 
Columbia Pictures Corporation présente : Terry and the Pirates

                                             Ah oui qu'en est-il du romantisme ?


BIENVENUE SUR UNIVERS

                          Par :  Pierre-André Doriot C'est ce à quoi l'homme du passé devait faire face !

En parcourant à plusieurs reprises la route des Pirates des Caraibes et passionné par la vie de ces hommes du 17e et 18eme siècles, en particulier Henry Morgan ( 1635-1688) ou Edward Teach dit Barbe Noir 1718, pirate anglais.
 A cette époque, j'aurais pu être un pirate, vous auriez pu être également un pirate si vous faite partie de la masse radicale qui aime avoir un peu de liberté personnelle, un assez bon repas et qui déteste la punition. 


Pirates et FlibustiersLRH


La véritable histoire des Pirates des Caraibes est de loin celle racontée par l'historien, car quand l'historien veut voyager, il le fait à bord d'un paquebot bien aménagé et pour l'expérience de la mer que cela lui procure, il pourrait tout aussi bien passer quelques nuits dans un hotel local.

L'historien condamne énergiquement cette saga maritime qui dura deux siécles et l'estampille de noms comme Teach, Morgan, et l'Olonnais.

En fait, si les bateaux modernes étaient moins bien aménagés et si les équipages mangeaient encore de la viande salée, des pois séchés et buvaient de l'eau recouverte d'une écume verte, nous aurions encore des pirates, des flibustiers.



Quand nous pensons à ces pirates hurlant, agitant leurs sabres, ces pillards avec leur pavillon noir, nous oublions de nous souvenir de l'époque -- ces deux siècles d'extorsion impériale, de souverains aveugles et d'esclavage.
Pour comprendre pourquoi un pirate devenait pirate, on doit comprendre les conditions en mer à cette époque.
La discipline - cette déesse - de l'enfer était en vigueur dans les marines militaires et les marines marchandes des dix-septième et dix-huitième siècles au travers de plusieurs mécanismes, notamment le chat à neuf queues.

En théorie, ce fouet n'est rien de plus que neuf lanières attachées à un manche court. Même sous cette forme, c'était assez dur. Mais ce n'est pas ce que les capitaines militaires et les marchands de l'époque pensaient. Ils cherchèrent donc à améliorer la discipline en prenant du fil de cuivre et en l'enroulant autour des extrémités de chaque lanière. Quelques fois ils ajoutèrent une balle en plomb à l'extrémité.
Pour oublier de saluer un aspirant de marine, un marin pouvait recevoir quinze coups. Vous et moi, avec notre façon de vivre moderne, n'aurions pas survécu après dix coups.
Les Anglais avaient une coutume qui mérite d'être mentionnée. Si un marin frappait un officier - sans considération de provocation - la punition était la << flagellation à travers la flotte >>.
Le marin était amené par bateau de navire en navire et était flagellé sur chaque passerelle. Inutile de dire que personne n'a jamais survécu à l'expérience.
Toute infraction pouvait être punie par la flagellation et très peu de commandants savaient réellement à combien de coups de fouet un homme pouvait survivre - des coups donnés avec chaque parcelle de force musculaire disponible aux moyens de lanières aux extrémités en cuivre qui réduisaient le dos en bouillie.
Se plaindre au sujet de la nourriture ? Soixante coups. Faire le malade ? Une centaine de coups. Manquer d'arriver en temps voulu pour sa fonction de quart ? Soixante dix coups. Et cinquante étaient fatals, par moments.
Je ne parle pas des exceptionnels. C'était la condition dans chaque marine d'Europe - et il n'y a pas si longtemps c'était la condition au sein de notre propre Constitution. Pouvez-vous visualiser ses ponts rougis du sang des hommes flagellés ?
Des hommes mourraient du scorbut à une allure épouvantable. Et même après que ceux au pouvoir avait appris ce qui causait le scorbut - le manque de vitamine C - rien ne fut fait à ce sujet. Les dents des hommes pourrissaient, ils dépérissaient et finalement - si le capitaine avait du temps - on les enroulait dans de la toile avec quelques boulets et on les jetait par-dessus bord. Habituellement, on les jetait tout simplement.

L'eau était toujours rare, toujours putride. Les condensateurs de vapeur n'allaient exister que dans un futur lointain. Il y avait de l'écume verte dans les tonneaux et sous l'écume mille choses rampantes. Aucun effort n'était fait pour découvrir que le fer transportait l'eau dans de meilleures condition que le bois.

Il y a quelque années je suis allé aux Antilles dans un vaisseau. Nous avions environ soixante hommes à bord d'un bateau de mille tonnes et nous étions affreusement entassés et mal logés.

Mais il y a quelque siècles, un bateau de cent tonnes transportait cent personnes.Il n'y avait aucun endroit sec pour dormir. Rien de plus mou qu'une planche de chêne. Aucun effort n'était fait pour fournir des couvertures aux hommes ou pour les vêtir afin de rendre leur vie plus supportable.
Un marin ou un membre d'un navire marchand ne recevait que rarement tout le bénéfice de son salaire. Il était englouti par toutes sortes de comptes mesquins et par des prêteurs sur gage à terre -qui étaient approchés en premier lieu parce qu'un marin n'avait pas pu obtenir un sou d'avance sur la paie de sa libération.

Aucune permission à terre pour la marine ou le bateau de marchandises parce que l'équipage entier aurait pu déserter.

Qu'en est-il de ces dix-septième et dix huitième siècles colorés et romantiques ? Qu'en est-il de ces garçons vaillants qui ont tout donné pour leur roi et leur pays ? Reçurent-ils une compensation pour les blessures ? Non. Reçurent-ils des pensions ? Non. Se faisaient-ils souvent tuer ? Je dirais que oui.

Comme les marines de cette époque étaient trop mesquines pour acheter des pansements, les chirurgiens (ex-barbiers) utilisaient des éponges d'un homme à l'autre, une douzaine d'hommes par éponge et une blessure signifiait soit un membre perdu soit une vie perdue, une grosse infection dans le meilleur des cas.

Ces docteurs utilisaient des fers rouges chauffés à blanc pour cautoriser des plaies. Ils coupaient les bras au lieu de réparer les os cassés. Et si des boulets ou des chaînes tirées par des canons, ou des piques, n'avaient pas ôté la vie du marin, alors le chirurgien le faisait.

Ah, oui, qu'en est-il du romantisme ?

Les marins s'engageaient très rarement à cette époque. Ils étaient enrolés de force par des gangs qui les forçaient, les droguaient, les tabassaient, les menaient dans un enfer pour un pays, un roi et la marine marchande. Ils ne pouvaient même pas dire à leurs familles qu'ils partaient. Et même s'ils gagnaient leurs vingt dollars par mois sur un navire marchand, ils risquaient dêtre saisis à terre et jetés dans la marine militaire.
Autrement dit, ils n'avaient aucun choix. Ils étaient forcés contre leur volonté. Ils étaient traités comme du bétail et mouraient comme des fourmis écrasées par un talon. Ils étaient flagellé s'ils ne travaillaient pas ou ne combattaient pas et mouraient ainsi. Et s'ils travaillaient et combattaient, ils mouraient de toute façon.

Mais à travers cette amertume, il existe tout de même quelque chose au sujet de la mer. Quelque chose que la vapeur a perdu à nos yeux. Quelque chose au sujet des voiles, d'une quille bien dessinée et des pays lointains auquel les hommes ne pouvaient résister.

Il y avait le charme des tropiques, de l'embrun marin et d'un empire à conquérir. Mais tout cela n'était pas pour le marin ordinaire. Pour les officiers, oui. Mais un officier provenait habituellement d'une famille noble et un marin ne pouvait pas en devenir un s'il était né devant un foyer au lieu de naître dans un lit à baldaquins. L'histoire nous dit, de manière véridique, que les hommes les plus forts sont ceux qui sont hissés jusqu'à une position élevée.

Mais que les choses soit bien claires. Cela vous plairait-il d'aller faire un tour jusqu'au drugstore du coin pour prendre l'air ou d'aller acheter un paquet de cigarettes et soudainement de vous retrouver confronté à une bande d'hommes armés qui vous saisissent à bras-le-corps et vous portent jusqu'au port où vous seriez jetés dans une cale puante, infestée de vermines avec d'autres malheureux tout aussi ébranlés que vous ? Cela vous plairait-il d'être partis pendant des années, d'être battu comme un esclave, et de revenir avec l'esprit déformé et le corps meurtri pour découvrir que tout ce que vous aviez connu avait été balayé par l'inévitable progrès ?

C'est ce à quoi l'homme du passé devait faire face.

Mais regardons le bon côté de la chose. Un marin dans la marine militaire ou dans la marine marchande n'avait aucune chance. N'était-ce pas naturel pour lui de déserter à la première occasion ? Il était prêt à braver les requins, la nuit dans un port étranger, pour nager loin de son enfer flottant.

Il était heureux de monter à bord du premier bateau qui se présentait, pourvu qu'il soit meilleur. Il aurait fait n'importe quoi pour échapper à ce calvaire.
Et ainsi, les pirates étaient nés.

Devenir pirate était simple. Un jour, à l'aube, vos officiers appercevaient un bateau. Bientôt le vaisseau avait doublé le vôtre et une courte bagarre s'ensuivait. Vous vous trouviez alors là, en train de regarder ces chahuteurs barbus qui vous avaient abordés, et vous entendiez l'un deux dire que celui qui voulait être pirate n'avait qu'à avancer.
Vous regardiez leurs corps splendides et la manière libre et hautaine avec laquelle ils dressaient leur tête. Et vous avanciez.Oh, oui ! c'est ce que vous faisiez, hors-la-loi ou pas.
Ou peut-être votre vaisseau avait coulé sur un récif et vous n'aviez nulle part où aller sinon sur un autre bateau comme le vôtre.Puis, une nuit, vous entriez dans une auberge et vous aperceviez quelques brutes à la voix de stentor avaler leur cognac à grandes gorgées.Ils vous regardaient, examinaient votre taille et la force de votre bras, puis vous demandaient de vous joindre à eux.
La loi ? Vous ne pensiez pas à la loi, vous pensiez à un estomac plein et à un goût de la vie en mer comme elle devait être vécue. Vous pensiez qu'ici vous auriez une permission à terre, qu'ici vous obtiendriez de bons vêtements, qu'ici vous seriez capable de vous défendre contre des officiers despotiques.

Vous vous joigniez à eux, bien sûr.


A bord de bateau pirate on avait la belle vie, on avait la belle vie. On était en sureffectif et le travail était bien réparti. Lorsque le capitaine devenait trop rude, on le retirait de son poste. On allait à terre toutes les fois qu'on avait besoin d'eau et au diable les horaires ou les trajets prédéfinis. On mangeait bien parce qu'on avait le meilleur de ce qu'il y avait dans les garde-manger des grandes cabines que l'on avait capturés. On pouvait entretenir des relations commerciales avec les autochtones de n'importe quelle île pour avoir de la viande fraîche et des légumes frais.

On ne passait pas toutes les journée en mer. On trouvait un refuge à Saint Thomas ou à la Culebra.
On naviguait comme vous et moi naviguerions si nous avions un bon yacht et beaucoup de temps.

 Et ainsi, les pirates étaient nés.


Q - We Are The Plan